Après une démission, est-il possible de toucher le chômage ?

22 Juin 2022 | Public

De nombreuses conditions poussent un salarie à résilier son contrat cdd et faire recours au chomage. On enregistre souvent des cas de salaires non payés, la contestation de sanction ou la discrimination. Il y en a d’autres employés qui sont victimes de licenciement abusif. Néanmoins, vous vous demandez s’il existe une possibilité de toucher une allocation en cas de retour au chomage. Une chose bien importante à retenir est que tout dépendra du type de résiliation de contrat de travail. Découvrez dans cet article ce dont vous bénéficiez ou perdez au cas où vous n’auriez plus votre emploi.

Quand t est-ce qu’un employé touche évidemment au chômage ?

Pour ce qui est de la norme, le salarie qui démissionne de son poste se trouve immédiatement sans-travail. Mais des exceptions se présentent comme dans le cas où la demission serait estimée comme légitime. En ce moment, l’employé n’est plus en chomage et il jouit des droits d’allocation de retour à l’emploi. Cependant, il est définitivement considéré comme chômeur si sa demission dispose d’une duree de quatre mois déjà.

Intérêt de la résiliation d’un contrat de travail pour un employé

Chaque employé qui démissionne de son travail a toujours une ou plusieurs raisons propres à lui. Pour certains, c’est pour se reconvertir dans un autre domaine. Pour d’autres c’est une reconversion d’activités qui aura pour débouché de toucher un projet d’entreprise. Il existe aussi d’autres cas très particuliers comme un déménagement avec son conjoint.

Cependant, avant toute demission, le salarié doit demander un conseil en évolution professionnelle auprès d’un opérateur agréé. Il aura par la suite adressé une commission paritaire de sa zone pour une étude de son cas au pole d’emploi. Enfin après une analyse de la proposition, un moyen de financement ainsi que des techniques sont alors envisagés.

Dans quelle condition le salarié peut-il se voir jouir d’une allocation après qu’il soit en chômage

Le cas le plus répandu est celui de rupture de contrat de travail. Mais sous plusieurs autres prétextes, le salarié peut prétendre recevoir un droit de versement d’allocations pendant la periode de son retour au chomage. Il s’agit notamment d’une perte d’emploi de manière non voulu. Le licenciement pour un motif économique par exemple et la rupture du contrat cdd à l’initiative de l’employeur sont aussi considérés. De même, un chômeur qui possédait un emploi bénéficie des droits d’allocations de reprise à emploi si sa demission est involontaire dans une entreprise. En principe, la démission annule tous les bénéfices qui devront être alloués au salarié s’il a été employé juste pendant une periode de 65 jours chez son employeur. Très souvent, le salarié bénéficie de reliquat de droit au chômage ce qui lui permet de jouir des allocations de retour à l’emploi. Mais dans le cas où il ne disposerait d’aucun papier, il est susceptible de demander un réexamen pour sa situation. Cette demande est adressée au pole d’usage dans un bref délai. Une duree de 121 jours est attribuée à tout individu après rupture de son contrat de travail.

En effet, les conditions d’attribution d’allocation sont très simples. Le salarié en contrepartie avec son conjoint se lance dans un projet de changement de domicile. Ce dernier devra être pour des raisons très professionnelles ou de reconversion. Il y figure aussi des cas où la progéniture de l’employé handicapé peut-être doit être placée dans une famille d’accueil. Où même le salarié est victime de violences familiales ou de harcèlement.

 

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Droit insolite !

Le Code du travail interdit aux employés d’être ivre au bureau. Par contre, il autorise la consommation de divers alcools tels que la bière, le vin ou le cidre. C’est donc aux entreprises de les interdire via leur règlement intérieur.
Vous pouvez consulter l’article R4228-20 si vous voulez vérifier nos propos.